L’an dernier la manifestation avait pris la forme d’un « annivernissage »,
cette année c’était juste une rencontre d’artistes invités à exposer leurs œuvres
pour 2 jours à Fonlade.
Outre les installations et tableaux de mon hôte, se sont réunis trois peintres et une
artiste-sculpteur sur métaux. Si certaines couleurs ne passent pas bien l’épreuve du flash,
d’autres m’ont permis de vous faire goûter un aperçu de ces deux journées merveilleuses.

On peut voir le début de la mise en place (le Monsieur en noir est à moi!): il vont baliser
le parking: il y aura du monde dans cette campagne perdue! Martine et Richard nous ont
bien étonné avec une « performance » (à l’anglaise, comme il se doit, pour rappeler les
origines de Richard) sur l’art contemporain…et si la photo ne fait pas honneur à leur
prestation c’est mon appareil de photo qui en est responsable!

Une statue en bois qui vient de Sierra Leone garde la porte, une immense plante carnivore
(sculpture ferrugineuse) a poussé dans le jardin sous les doigts talentueux de
Patricia Molins, sa chrysalide délicate et aérienne en a enchanté plus d’un et je l’aurais
bien mise dans ma voiture en partant!
Claude Bernardo crée avec talent de doux et inquiétants portraits et de mystérieuses
scènes de vie.

 Jean Claude Nouard utilise les ocres      

et les pigments minéraux pour saisir
au plus près l’essence de la nature.

Sur toile ou papier il imprime sa
marque, véritable ode à la forêt et à
sesarbres bien aimés.

On le voit en pleine installation…

Photo J-C Nouard, technique mixte: collage encre et pigments

Nous y avons rencontré Francis Linglet et
admiré ses « traces du réel » en bleu.
Là aussi le flash a mangé les couleurs et ne
pourrez pas apprécier à leur juste valeur
ses belles toiles.

Photo Francis Linglet

Monique était là avec cette année des meubles et objets d’ Asie, toujours enthousiaste
à l’idée de nous faire découvrir des trésors.

Il manque à ce « reportage » l’atmosphère chaleureuse et nos rires, les repas passés
ensemble, les coups de cœur, l’amitié…et mille autres choses impossibles à traduire ici.

Et tout ça en COULEUR, parce que c’est la VIE

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2 réponses à to “Razac: an II”